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La princesse au petit pois

Cie La Loge

Trio musical ~ Un conte Opéra rock qui donne une suite inattendue à l’histoire .

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Le spectacle

Sylvain Bernert imagine une suite musicale, chantée et inattendue au conte

d’Andersen, avec un Prince et une Princesse qui s’en vont trouver leur bonheur dans les petits riens de la vie quotidienne. La Reine Mère est un peu rabat-joie mais qu’importe ! Une opérette pleine l’humour, de musique et de clown pour ce spectacle familial.

Textes et chansons de Sylvain Bernert

Décors et illustration Sophie Bernert

Photos : Maryline Gandon

Production et diffusion : Cie La Loge

Le texte original de Hans Christian Handersen est très court. Un prince cherche une princesse, aucune ne lui convient.

C’est fortuitement, lors d’un orage, qu’il rencontre celle qui lui ravit son coeur. Or, elle ne correspond pas aux normes de la Cour. Dès lors, la Reine mère lui fait passer l’épreuve du petit pois, coincé entre plusieurs couches de matelas. Seule une véritable princesse sera suffisamment délicate pour en être dérangée.

Un prince s’ennuie ferme dans son Château. Celui-ci cherche ce qui lui manque, lui qui a déjà tout... 

Il part à la quête des bonheurs des petits riens : et c’est une princesse absolument anti conformiste, révolutionnaire, anti protocolai,requi lui apportera des solutions!

L’.histoire est actualisée sous forme d’opéra.

Cette idée de travailler un opéra permet de mettre en place un spectacle complet total : en effet, l’opéra marie musique, texte, poésie, mise en scène, danse, chorégraphie, décors, costume.. en faisant la part belle aux voix.

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Dés 3 ans

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55 minutes

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Technicien pour salles équipées

(son et lumière)  

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120 personnes / + sonorisation nécessaire 

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3 artistes

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Ecoles, médiathèques, salles équipées, festivals ... 

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Extérieur : Non

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Extrait vidéo sur demande

Représentations

Conditions techniques 

Durée : 55 minutes

Public : A partir de 3 ans

Espace scénique : Largeur : 6m Profondeur : 4m. 

 

ACCUEIL :

L’équipe se compose de 3 artistes et parfois d’un régisseur

Prévoir un espace loge à proximité du lieu de représentation, équipé d’un miroir, d’un point d’eau, de sanitaires.

Prévoir des bouteilles d’eau, thé, café, et de quoi grignoter (fruits frais ou secs), mouchoirs en papier

Nos véhicules devront accéder au plus près du lieu de représentation pour faciliter le déchargement, merci de prévoir un lieu de stationnement.

En cas de déplacement en train, merci de prévoir les runs nécessaires entre le lieu de représentation et la gare.

 

PLANNING :

La compagnie devra avoir accès au site au minimum 2h avant la représentation pour l’installation des décors et le réglage du son.

BESOINS TECHNIQUES

Prises de courant

La salle devra être au maximum dans le noir durant le spectacle. Prévoir l’installation d’occultations si besoin.

En extérieur selon les conditions d'accueil.

 

REGIE LUMIERE :

Pour les petites structures et petites salles : autonomie complète. 

En cas de doute, n'hésitez pas à prendre contact avec nous.

JAUGE : Sans Régie max 120 personnes 

REGIE SON :

Au-delà de 120 personnes, sonorisation obligatoire avec présence de techniciens son et lumière. Merci de prendre contact avec nous pour plus de précisions

Composition - Musique et inspirations

«La Princesse au petit pois» a été conçue dans la forme d’un singspiel du l8ème siècle. Cela ouvrait des possibilités pour aborder le merveilleux, le phrasé avec un travail de mélodisation de la voix parlée, et écrire des arias rythmant l’histoire. Ces arias sont typés en fonction des personnages.

 

Dans l’écriture et la composition musicale, les inspirations sont multiples : Mozart avec un contrechant, Debussy avec un contre ténor dont la tessiture ajoute au merveilleux. L’ouverture est indéniablement emprunt de Verdi.

Les chansons de la véritable Princesse sont dans un esprit kodalien, des modes venus de l’Europe de l’ Est.

Un moment de funck - trad se mêle de manière harmonieuse sur l’une des chansons récurrentes de l’opéra grâce à un parcours tonal utilisé tout au long de la pièce.

Mise en scène

Trois artistes sur scène.

Chacun « se prend pour’’, ils sont l’histoire qu’ils incarnent. Tour à tour plusieurs personnages, et même parfois les mêmes : l’un joue successivement le cheval, le laquais, les trois princesses, le prince, la marâtre.

La comédienne est la récitante, la marâtre, la marraine, une princesse, le prince, la vraie princesse, le troisième protagoniste va interpréter le prince, le cheval, la marâtre.

Le metteur en scène s’imprègne du travail de Heyerold et demande aux trois interprètes de vivre intensément l’instant vécu sur le plateau et de subjectiver leur présence.

Les propositions scéniques enrichissent le récit et permettent une lecture parallèle : références d’actualités sur l’outil portable, le (trans)genre et les diktats de la mode.

Le postulat de base était celui du conte. Car cela nous plaçait dans un récit, dans le passé, au style indirect. L’aspect rassurant du récit au passé employé projette l’imagination de l’enfant. Le récit place le jeune spectateur au plus près de l’intime : comme lorsque son papa ou sa maman lui raconte une histoire.

L’espace/jeu est construit comme l’enfant peut le concevoir : tout est prétexte à imagination. 

Sur scène : un jardin agrémenté d’arbres, un muret, une vieille tour. Les objets de décors sont évidés au maximum pour permettre un esthétisme dans le jeu des transparences et des lumières de contres. Cela permet également un espace scénique dedans-dehors synthétisé et efficace : les interprètes apparaissent à travers les objets. Chaque espace est utilisé corne un objet outil : la tour devient une étagère, le muret est un piano, les arbres portent leur fruit : un énorme gong.

Les instruments de musique sont éparpillés sur scène et placés en fonction des déplacements. Les arbres sont fortement impérgnés de Paul Klee : des objets colorés accrochés aux branches donnent un « rythme pictural ».

L'auteur

Issu d’une famille de musiciens (avec une grand-mère conteuse),Sylvain débute le violoncelle à six ans et entre à l’école de musique d’Irigny (69), dirigée alors par la chef de chœur de renommée internationale Nicole Corti.

La méthode Willems, enseignée dans cette école, l’initie à la danse, l’improvisation musicale, au chant et aux percussions. 

Ces disciplines vont largement influencer son imaginaire musical. Grâce à une solide formation de musicien et de violoncelliste, Sylvain mène une carrière de musicien soliste, de chef de chœur et d’enseignant en conservatoire.

Depuis vingt ans, il compose des spectacles pour le jeune public. Ses recherches et son travail de mise en scène sont très fortement influencés par son bagage musical. Pour l’un de ses tout premiers spectacles, Boutchou le petit train, Sylvain créé un style dont il ne démordra plus : un spectacle musical où la voix chantée et parlée, la musique accompagnent l’enfant et aiguisent son imaginaire dans un environnement familier et intime. 

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